Avant de lire ce texte, si vous ne comprenez pas le 15eme degré, ne perdez pas votre temps à lire! (si vous avez 6 grammes, par contre, vous allez aimer ^^)
Pour cette finale, nous avons décidé de mettre toutes les chances de notre coté. Nous avons donc fait appel au plus grand spécialiste que nous ayons trouvé.
Je vous demande donc de bien vous concentrer sur la présentation de Mr Abraham Pètepètepète, professeur d'histoire à l'université Sedan XII.
Merci.
Je vous propose de nous pencher sur notre adversaire du jour : Israël.
Etudions bien ce nom et recherchons ses traces sémantiques, sémiologiques, historiques, dramaturgiques et tragiques.
Is-ra-ël
Is, on pense bien sûr et c'est une évidence à la cité d'Ys ou Ker Ys, cette cité légendaire bâtie dans la baie de Douarnenez et engloutie par les flots. L'important réside dans ce dernier point : l'engloutissement et le pourquoi de cet engloutissement.
Ys était la plus belle cité du monde mais un "principe supérieur" (Dieu, Satan, le président de la république, le sélectionneur italien ?) a décidé de châtier ses habitants qui baignaient dans la luxure.
Premier enseignement : la luxure, kénavo !
Ra... Facile ! Ra était le dieu du soleil chez les égyptiens anciens. Mais nos adversaires du jour nous ont préparé un piège ! En effet, j'ai commencé à travailler sur Ra. Mes recherches n'aboutissant à rien, je suis allé me saoul... méditer et l'illumination est arrivée en commençant à réfléchir à la troisième partie de ce nom.
El : "il" en espagnol ? Hell ? Et bien non ! Derrière ce el, ils ont caché un miroir. Collons ce miroir au el un peu en biais, comme ça et on peut voir : elle !
Raboutons Ra à elle... Mais nom d'une passe de pivot, c'est bien sûr ! Derrière ces deux mots, il faut aller chercher le principe féminin de Ra, dieu du soleil et du jour. Bien évidemment, et tout le monde la connait, apparait devant nous l'image de Keket ! L'antagonisme féminin du soleil, donc du jour est bien la déesse de la nuit.
Reprenons nos deux mots : la luxure, Keket.
Allons, j'en vois dans la salle qui ont trouvé ! Oui ! Lisez ce nom tout haut : Kéket et pensez un peu luxure, là, en dessous de la ceinture. C'est, c'est la... quéquette !
Là, je dois m'interrompre quelques instants et expliquer dans la divine langue rosbeefienne quelques subtilités aux petits espions malins et outreméditerranéens qui trainent :
Dear sir and gentlewomen. We are tipically behind a specifity of french langage. It's a game of word, or, I prefer, in french a "calembour" (like the "camembert" but with a bour at the end and a "l" at the place of the "m"). So, at this moment, behind your incredibiliters eyes, you see a fornam : Keket has the same sonority of the french translation of "dick" or "instrumental male sex".
Understand ?
Bien, reprenons en grenouille...
On arrive donc au mot quéquette.
Référons nous maintenant à l'un de nos plus grand penseur : Charles Perrault.
Ne fait-il pas dire à la grand-mère, symbolisant l'ancienneté donc l'expérience, au petit chaperon rouge, symbolisant le basketteur soviétique :
"Tire la quéquette, le ballon cherra !" ?
Ne vous êtes vous jamais demandé ce que signifiait une telle parole dans une très sérieuse étude sur la politique des clans ouralos-caucasiens comme celle du "Petit chaperon rouge versus Grand méchant loup" ? Non ? Vraiment...
Ca veut tout simplement dire que vous devez absolument tirer sur les zigounettes israéliennes et prendre les ballons pendant que les possesseurs de ces zigounettes les lachent.
Et voilà, vous avez la clé, bon match.