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[EDF U21] France - Italie

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Date: 12/6/2010 1:20:03 PM
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Bonjour à tous pour ce premier match de la seconde phase des championnats d’Europe ! Et on commence par du lourd, voire le plus lourd même, avec l’Italie, 1ère nation Européenne et 2ème mondiale. Quelques mots sur ce pays (un coup de Wiki comme d’hab, c’est de la fausse comm’ vous pouvez le dire ).

L’Italie, en forme longue la République italienne, en italien Italia et Repubblica italiana, est un pays d’Europe du Sud correspondant physiquement à une partie continentale et à une partie péninsulaire située au centre de la mer Méditerranée ainsi qu'à deux îles de cette mer, la Sicile et la Sardaigne. Elle est rattachée au reste du continent par le massif des Alpes.
L’apport de l’Italie à la civilisation occidentale est immense : elle est notamment le berceau de l’Empire romain et de la Renaissance. Existant en tant qu’État depuis le Royaume de Sardaigne, l'Italie est une République depuis l'abolition par référendum de la monarchie italienne en 1946. Elle est membre fondateur de l’Union européenne (UE). L’Italie reste un acteur majeur de la scène internationale, forte de ses soixante millions d’habitants, de la force de son économie car elle est la sixième puissance économique mondiale et de son rôle au sein de nombreuses organisations internationales(Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), UE, G8, Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)).
Au basket, l’Italie a récemment été éliminée deux fois de suite par les français pour les qualifications aux championnats d’Europe et Mondiaux. Au foot, nous les avons même spectaculairement privé d’une demi finale de coupe du monde en 1998 et du titre de champion d’Europe en 2000. Mais cela concerne peut Buzzerbeater, et avant que les Italiens nous rappellent 2006 en Allemagne, allons-y pour le match.

La tactique

Les Italiens sont tout simplement bon partout, en attaque comme en défense. Il est donc difficile de les manœuvrer, il faut au minimum être bon tactiquement en défense. Le coach Italien n’a utilisé qu’une seule fois une attaque extérieure pour le moment, contre la Russie, un match clé pour la qualification. Ce facteur plus les deux blessures d’Anthony Dubois et de Fabrice Lafleur qu’il insistera de ce côté-là, nous défendrons donc en 3-2.
Concernant l’attaque, nous nous attendrons probablement à une défense 3-2 de leur part, ou au minimum à un Ar repositionné en AS pour une homme à homme. L’attaque intérieure semblerait donc couler de source, mais la forme un peu basse de Gaëtan Bonaventure (fort low) me laisse dubitatif, de même que le niveau de SI de certains de nos intérieurs. C’est pourquoi nous attaquerons extérieur quitte à rencontrer une défense adaptée, je pense nos chances plus supérieures ainsi. Comme je l’ai dit à mon staff « tactiquement illogique, statistiquement possible ». J’assumerai ce choix…

La composition

Pas de surprises à la mène, Rodolphe Fontaine sera notre titulaire habituel. Derrière, la blessure d’Anthony Dubois profitera à Damien Roger, en bonne forme.

A l’arrière, Benoît Colas sera notre shooteur fou. Derrière, le jeune Mickaël Derambure fera son possible pour retenir les ardeurs italiennes.

Au poste d’Ailier shooteur, Samba Badiana devra apporter tout sa hargne offensive et défensive. Florian Da Costa profite du forfait de Fabrice Lafleur pour montrer qu’il est bien présent.

Au poste d’Ailier fort, une bonne semaine de ups propulser Pierre Wagner comme notre AF indiscutable. Sébastien Rollin au pic de sa forme progresse lui aussi, et peut maintenant assurer sans problème un match.

Chez les pivots, Patrice Caumont commence à faire peur (ou à réjouir, c’est selon). Il tiendra la raquette d’une main de fer. Derrière, Pierre Le Pors sera lui aussi prêt à s’employer.

Chez les réservistes, on retrouvera Christophe Robbe et Fabien Pénel.

Avant de dire un bon gros ALLEZ LES BLEUETS

Last edited by AOKExplo at 12/6/2010 1:20:19 PM

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Date: 12/8/2010 1:03:15 PM
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Petit débriefing du match contre l’Italie, qui nous a vu connaître notre première défaite lors de ces championnats d’Europe, 79-85. Une défaite pas dramatique mais frustrante au regard du match et notre choix tactique. La marché était vraisemblablement encore un peu haute, mais elle nous montre que nous avons les moyens de rivaliser avec les meilleurs.

Le déroulement du match

Le début de match est équilibré, avec une score de parité de 12 partout au bout de 6 minutes. Les français peuvent compter sur un bon Rodolphe Fontaine (7 points à 3/4) pour rester dedans. La deuxième moitié du quart-temps va être l’œuvre des défenses, avec notamment Colas complètement éteint (0/6 au shoot). C’est sur un petit score de 16-16 que se conclut le quart-temps.

Le deuxième quart va être une pétition du premier, avec un 13 partout en 6 minutes de jeu. Samba Badiana et Patrice Caumont font le job (6 et 7 points) et la défense tient bon. A la mi-temps, et malgré la faillite de Benoît Colas (0/9 au shoot…), les Bleuets de 3 points, 41-38.

Le deuxième acte va leur être beaucoup moins favorable, avec un troisième quart-temps difficile. Les Italiens défendent très dur, et nos lancers francs ne suivent pas. Matteo Bonini (17 points) nous fait mal, et on se trouve avec un déficit de 5 points avant le dernière ligne droite, ce quart-temps perdu 27-19.

Les Italiens vont poursuivre leur bon travail de fourmis, en engrangeant point par point, et en comptant jusqu’à +10 (5 minutes de la fin). Mais Badiana et Fontaine se souviennent qu’ils savent shooter, et à une minute de la fin, le score n’est plus que de 74-78 pour les Italiens, puis de 76-79 à 30 secondes… Finalement, un Andreucetti solide aux lancers francs malgré son 2/17 au shoot, emmènera les Italiens vers la victoire, malgré (enfin) un shoot à trois points de Colas. Défaite 79-85 et beaucoup de regrets pour les Bleuets.

Le bilan

Les points positifs :

- Malgré cette défaite, notre défense tient la route, de même que notre niveau au rebond. Il ne faut pas oublier que nous jouions la meilleure équipe européenne.
- Patrice Caumont is in the place. Sur un run and gun, il domine son vis-à-vis Cardillo, plus gros salaire de cette Euro. Comme quoi ça ne fait pas tout.

Les points négatifs :

- Notre réussite aux lancers francs. Il est trop tard pour la travailler, mais ce 5/13 nous coûte probablement la victoire. Avec seulement 3/4 points de plus, c’est tout le déroulement du match qui aurait changé…
- Nos back-ups extérieurs. Déjà handicapé par des blessures, nous avons pu constaté à quel point nous étions léger sans notre gros trio. Impossible à corriger, il faudra compter sur les forces en présence…

Nous avons une place inconfortable, dans le sens où nous risquons d’être motsé par la Lituanie lors du dernier match, étant donné sa défaite face à la République Tchèque. Nous jouons ces derniers lundi, et la victoire est impérative…