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Je crois qu'il y a peut être eu un petit malentendu... Le principe de mon analyse n'était pas de dire "la vente de produits dérivés c'est le match TV et uniquement ça" ! Je suis même certain qu'il y a plusieurs éléments qui entrent en jeu. L'idée c'est de les mesurer sur le court/moyen/long terme.
Dans mon cas, vu que j'ai un effectif qui a pas bougé, je n'ai pas pu mesurer l'impact de la variable "nationalité des joueurs". Donc j'en parle pas.
Dans mon cas, l'unique variable (avec le moins d'éléments parasitaires) c'est le résultat du match TV.

Dans ton cas (et celui de Macpitch), tu as pu le constater, la variable "nationalité des joueurs" a un impact incontournable (50% des produits dérivés).

Ce que je peux te dire maintenant, c'est que si tu avais gagné (uniquement) tes match TV, c'est un manque à gagner de l'ordre de 1k à 2k hebdo (tu aurais pas trimballé une note de 0,5 ou 1 sur 5 semaines, mais plutôt de 3 ou 4).

le critère essentiel pour les PDs c'est effectivement la nationalité des joueurs. Plus t'as de joueurs étrangers, moins tu touches. L'impact est cependant moins important dans les basses divisions. En revanche quand on monte, on se rend vraiment compte de la nécessité d'avoir des joueurs fr au sein de son effectif si on veut espérer toucher de gros PDs. Le fait d'avoir dans ses rangs un joueur de l'EDF impacte encore plus ses PDs.

C'est ainsi pourquoi en ProA, l'écart type des produits dérivés est vraiment hallucinant. La moyenne se situe aux alentours des 110k, mais je connais des managers qui touchent moins de 60k comme d'autres qui touchent plus de 190k.

Bref, tout ça pour dire que les PDs ne sont pas vraiment un aspect essentiel quand on évolue dans les basses divisions, mais que par contre, quand on commence à arriver en III ou en II, les PDs représentent un élément non négligeable en ce qui concerne le financement de son équipe et qu'il ne faut pas négliger .... dans la mesure du possible (car bien entendu, on ne peut pas parfois tout maîtriser).