En direct de la paillote "Chez Pastaga".
Avec Pastaga, on refait le match!(63227)6 points d'avance à la mi-temps, 17 à l'arrivée. L'Equipe de France a toujours eu la main sur ce match, sans jamais le dominer de la tête et des épaules.
A la décharge de Manager Joe, il faut signaler que le chauffage était réglé sur "Chaleur douce" à l' Elites Palacio et qu'il n'avait été allumé que 30 minutes avant le coup d'envoi. Notre coach n'avait pas prévu le coup. Côté bulgare, ils ont préféré jouer torses nus. La fameuse tactique défensive française, plus connue sous le nom de Jersey Holding, était ruinée. Il a fallu une mi-temps pour s'adapter.
Autre circonstance désobligeante, la boîte à sifflets des arbitres avait été oubliée dans le taxi qui les amenait au match. Ils ont dû se rabattre sur d'ancestraux sifflets métalliques retrouvés dans la casemate du gymnase. Ouf ! Mais pas question de les porter à la bouche avec cette température. Peu de fautes sifflées à l'arrivée.
Malgré ces manoeuvres n'étant pas sans rappeler le coup du parapluie bulgare, l'Equipe de France a tenu bon et a assuré l'essentiel.
81-64. C'est une victoire qui ne souffre aucune contestation, mais qui ne nous fait pas grimper aux rideaux non plus.
Pour Dare Dare Gonca, c'est la victoire des joueurs
C'est Scotch qui s'est coltiné Varban Kratunkov et il s'en est plutôt bien tiré. Il a aussi alimenté la marque avec la paire d'arrières Mortal Totor/Hurricane.
Les 3 recrues de Pôle Emploi ont fait le job. Une mention à Rhum II qui semble avoir un poil plus de talent offensif que son modèle.
Qu'est-ce qu'on fait maintenant?On fait bosser les systèmes aux CDD et on remet en forme les deux loustics qui se sont dispersés.
On va faire un petit tour de vélo. Récupération, détente, sans oublier le ravito.
Et une petite soirée curling-raclette pour la convivialité.