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[EDF U21] France - Ecosse

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162090.6 in reply to 162090.5
Date: 10/26/2010 4:32:01 AM
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La 2/3 est une tactique devenue quasi inutile, même face à une tactique intérieure.

From: Mirouf

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162090.7 in reply to 162090.6
Date: 10/26/2010 6:01:01 AM
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La 2/3 est une tactique devenue quasi inutile, même face à une tactique intérieure.


Je suis pas de cet avis :)

From: sneakyB

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162090.8 in reply to 162090.7
Date: 10/26/2010 7:19:30 AM
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Une formulation maladroite certainement, qui parle d'opinion ici ? Il suffit de regarder des matchs de tous les niveaux, de la DV à la Pro A, aux matchs internationaux, aux BB ... Les faits parlent d'eux-mêmes. La cause peut prêter à interprétation, mais la réalité elle-même, pas trop ...

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162090.9 in reply to 162090.5
Date: 10/26/2010 7:42:06 AM
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Bravo pour cette victoire.

Deux petites questions :
bien la logique voudrait que nous défendions à l’intérieur, une 3-2 sera employée pour ce match

Je suis pas certains de comprendre, d'autant plus que les intérieurs sont en meilleurs formes et ont réalisés un meilleur match.


Nous devrions intercepter un grand nombre de ballons

Pourquoi donc ? Un avis sur le nombre d'interceptions réalisés ?

Bonne chance pour le prochain !


Hello et merci.

Depuis deux (trois?) saisons, on constate des "anomalies" avec de nombreuses défaites surprenantes où des gros LI n'enfoncent pas des 3-2. De manière générale, ces 3-2 sont constituées de très gros défenseurs extérieurs et empêche de bien transmettre la balle aux intérieurs. Cela fait très discours IRL, mais pour moi c'est ce qui se passe. Et le fait que leur meneur ait pris la majorité des shoots de son équipe va dans ce sens. Il a aligné 12 points d'affilée en fin de match, mais sinon c'était faible dans l'ensemble. Leur AF nous a causé problème (6/10) mais souvent sur des shoots extés, il doit avoir un peu de JS malgré son statut de Pivot.

Pour les BP, ben je me suis vraisemblablement planté concernant nos interceptions. Sur une 3-2 avec des extérieurs grandement supérieurs à ceux d'en face, c'est ce qui arrive le plus souvent sur BB, ça n'a pas été le cas. Ils perdent quand même 18 ballons, avec juste 1 ou 2 FO. Alors après, pour les mauvaises passes, il y a les deux théories : grosse défense de l'équipe adverse, ou faible niveau de passe/agi? Pour moi, les deux ont joué.

Face aux gros équipes, ce genre de raisonnement sera plus succinct, dans la mesure où elles n'auront normalement pas grand chose de faible au niveau des extés ^^.

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162090.10 in reply to 162090.9
Date: 10/26/2010 7:46:45 AM
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Concernant la 2-3, je resterai prudent quant à son emploi. Il faut un grand nombre de facteurs pour l'employer pour ne pas se faire démonter, et au final c'est plus efficace de faire une homme à homme. Cela pourra nous servir éventuellement pour les matchs à venir, vu qu'on l'emploiera peu, nos adversaires se sentiront peut-être plus tourner vers une AI, et on tentera un coup.

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162090.11 in reply to 162090.10
Date: 10/26/2010 8:15:56 AM
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Merci pour ces réponses claires et limpides :)

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162090.12 in reply to 162090.11
Date: 10/26/2010 8:17:32 AM
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Et voilà le débrief.

Et de deux pour les Bleuets. Après des débuts prudents face à la Suède, les jeunes pousses françaises ont déroulé face à l’Ecosse pour s’imposer 118-80. Des motifs de satisfactions, aussi bien sur notre match que sur les résultats extérieurs. Quelques bémols à corriger, mais de prochaines échéances qui s’annoncent positives.

Le déroulement du match

Le premier quart-temps est équilibré entre les deux équipes durant six minutes, au cours desquels Benoît Colas (5/6) maintient son équipe dans le timing. La suite va se décanter un peu, et les Bleuets vont faire l’écart, particulièrement lors de la rentrée des remplaçants. Un schéma qui se répètera tout au long du match. Au final, les Bleuets enchainent et gagnent le premier acte 31-18.

Les douze minutes suivantes sont plus inquiétantes, avec un 8-1 infligé aux français par les Ecossais. Plus rien ne rentre, et les Ecossais maintiennent l’écart (19-11 à trois minutes de la fin dans ce quart-temps). Mais une nouvelle fois, les remplaçants rentrent et montrent qu’on peut compter sur eux en réalisant un 10-0. Le cinq revient sur le terrain, et sur un dernier contre de Sylvain Grandin (4 au total sur ce match), les français remportent 21-19 ce quart-temps. Score à la mi-temps : 52-37.

Le troisième quart-temps est presque un copié-collé du premier, avec un score équilibré pendant six minutes, puis finalement la troupe tricolore qui se réveille, Patrice Caumont en tête. A la peine en première mi-temps (bien relayé par Pierre Wagner), the Big Guy enchaine un 3/3 qui lui remonte le moral. Les remplaçants rentrent et terminent bien le boulot, pour gagner 29-20 ce quart-temps. Avec + 24, le match est plié, et le coach ouvre les vannes.

Et ce dernier quart-temps va être l’illustration de la richesse de notre effectif. Face à des Ecossais qui fatiguent, les remplaçants enchainent, particulièrement Samba Badiana (20 points à 8/16 en 21 minutes !). Le collectif français est en place, et même les réservistes Anthony Dubois (5 points à 2/2) et Pierre Le Pors (2 points à 1/1, 4 rebonds) y vont de leur pierre à l’édifice. Le baroud d’honneur d’Alex Gilbride (12 points en trois minutes, 26 au final et meilleur marqueur de la rencontre) n’y changera rien. Le match se termine par un bel écart de 38 points, 118-80 au final.

Le bilan

Comme lors du match contre la Suède, prudence dans les conclusions à tirer de ce match vu l’opposition.
Les points positifs :
- Le collectif français qui frappe encore, avec tous les joueurs qui marquent et sept à 10 points ou plus.
- La richesse de notre banc. Ce sont les remplaçants qui à chaque fois ont fait la différence. Les doublures sont de grande qualité, ce n’est pas négligeable.
- La défense 3-2 qui a limité les shoots dans le secteur intérieur. Plus des trois quart de ceux-ci ont été pris par les M/Ar/AS.

Les points négatifs :
- Patrice Caumont. J’attendais mieux de notre Big Guy, qui nous sort une première mi-temps cata, et mets du temps à s’imposer malgré sa forme. Il sera bientôt prêt vu son entrainement, mais ne l’est pas encore.
- La difficulté de contenir un meneur à seulement 34k de salaire et respectable forme. Il y a encore du boulot chez les Bleuets.

@ la semaine prochaine pour un match contre des Chypriotes qui progressent saison après saison.